Infos cliniques

De nouvelles recommandations de la société canadienne de pédiatrie soulignent l’importance de la première ligne pour dépister les troubles de l’alimentation chez les adolescents.

Le Groupe d’étude insiste de manière disproportionnée sur les aspects négatifs du dépistage, tels que le surdiagnostic, tout en minimisant les avantages indéniables de la détection précoce qui permet de sauver des vies et de réduire les souffrances.

Les chercheurs ont noté que la nature exigeante de la formation médicale peut conduire de nombreux étudiants à viser la perfection et à craindre de faire des erreurs, ce qui «peut conduire au développement d'un mécanisme de protection malsain».

Alors que la question de la déprescription interpelle depuis quelques années, sa mise en pratique fait face à de nombreux obstacles. Parmi eux, le manque de temps et d'outils pour une communication optimale au sein de l'équipe de soins.

Des chercheurs britanniques auraient percé le mystère d'un mécanisme qui jouerait un rôle de premier plan dans les maladies inflammatoires de l'intestin, ce qui pourrait un jour mener à de nouveaux traitements.

Le pollen de mauvaises herbes augmente le risque de problèmes respiratoires chez les enfants, dont l'asthme, selon une étude qui révèle en contrepartie que le couvert des arbres protège les enfants de développer l’asthme relié à ce type de pollen.

Différents émulsifiants ajoutés aux aliments qui se retrouvent sur les étagères des supermarchés pourraient augmenter le risque de DT2, possiblement en transformant le microbiote intestinal des consommateurs.