Urologie

Les recommandations conjointes de trois associations américaines établissent une définition claire de ce syndrome et préconisent l'administration locale d'œstrogènes vaginaux à faible dose ainsi que la prise de décision partagée.

La thérapie hormonale est considérée comme une solution potentielle dans le traitement ou la prévention des symptômes génito-urinaires. Pourtant, chez les femmes ménopausées, la prise d’hormones serait associée à une moins bonne santé de la vessie.

«C'est l'une de ces rares interventions qui améliorent les résultats et réduisent les coûts», a écrit Gabriela Ilie, coauteure, chercheuse en psychologie et professeure à la faculté de médecine de l'Université Dalhousie.

Même si la médication ne doit pas d’emblée être modifiée, il est utile de connaître les mécanismes de certaines classes médicamenteuses qui sont susceptibles de perturber l’adaptation du corps lors d’une canicule. Testez vos connaissances!

La thérapie hormonale est souvent considérée comme une solution pour traiter ou prévenir des symptômes génito-urinaires, mais la prise d’hormones serait associée à une moins bonne santé de la vessie chez les femmes ménopausées.

Les traitements invasifs, comme les injections de Botox dans la vessie, pourraient être offerts aux patientes souffrant d’incontinence urinaire réfractaire sans nécessiter de bilan urodynamique, selon une étude publiée dans The Lancet.

Elles intègrent de nouvelles données probantes et visent à prévenir l'insuffisance rénale chronique chez la plupart des diabétiques.

Un traitement novateur qui a déjà fait ses preuves contre le cancer de la prostate sera maintenant mis à l'essai face à certains de cancers les plus communs au Canada.