Mode de vie

Leur succès, commercial autant que médical, est aussi le constat d’un échec à prévenir ces maladies et à promouvoir de saines habitudes de vie. Le point sur ces nouveaux traitements, sur leurs promesses mais aussi sur leurs limites.

Par manque de temps, de connaissances et de ressources sur le sujet, les médecins de famille privilégient la promotion de l'activité physique en contexte de prévention secondaire au détriment de la prévention primaire, rapporte une récente étude.

Une nouvelle étude a examiné les effets sur la santé du nombre de pas, par rapport au temps passé à faire de l'exercice.

L’activité physique régulière agit comme un puissant moteur de la plasticité cérébrale. Elle façonne l’architecture même du cerveau en stimulant notamment la création de nouveaux neurones et la formation de connexions synaptiques.

Ce biais cognitif et statistique résulte d’une erreur consistant à ne compter que ceux qui sont là pour être comptés, en ignorant ceux qui n’ont pas «survécu». Mais il ne faut pas oublier qu’une corrélation n’est pas synonyme de causalité.

Combiner des activités d'endurance à du renforcement musculaire, pratiquer des sports collectifs mais aussi s'adonner à des jeux vidéo interactifs qui font bouger… voici quelques pistes pour aider à booster son cerveau et ses capacités cognitives après 60 ans.

Tout le monde parle de ces petites séances d'exercice qui peuvent rendre la journée de travail plus saine, mais ce n'est pas n'importe quel exercice qui peut être qualifié de «collation».

Une activité physique intense pourrait être en mesure de ralentir la progression de la maladie de Parkinson chez les patients qui en sont encore aux premiers stades, conclut une nouvelle étude pilotée par un chercheur de l'Université Yale.