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L’activité physique protègerait aussi les femmes de la maladie de Parkinson
Le risque de développer la maladie de Parkinson a été 25% moins élevé chez les femmes les plus actives de la cohorte de l'étude, comparé à celles qui sont les moins actives. Cet effet bénéfique serait détectable jusqu’à 20 ans avant le diagnostic.