Infos cliniques

Les idées noires se font envahissantes en cette deuxième vague de COVID-19, signale l'Association canadienne pour la santé mentale (ACSM).

Face aux pénuries de personnel et aux restrictions sanitaires qui limitent les visites de proches, les foyers pour aînés se tournent de plus en plus vers la médication de leurs résidents, s'alarme un gériatre.

À la demande du ministère de la Santé et des Services sociaux, l’Ordre des pharmaciens du Québec a publié deux avis de rupture d’approvisionnement en médicaments concernant la phénelzine (Nardil^MD) et l’acénocoumarol (Sintrom^MD).

Le SRAS-CoV-2 peut pénétrer dans le cerveau par le biais de la muqueuse olfactive, ce qui pourrait expliquer les symptômes neurologiques observés chez de nombreux malades, révèle une nouvelle étude publiée dans Nature Neuroscience.

Des données dévoilées vendredi par Statistique Canada démontrent qu'au pays en 2017, la survie la plus élevée chez les personnes atteintes de cancer était constatée pour les cancers de la thyroïde et du testicule, alors que la plus faible était pour le cancer du pancréas et le mésothéliome.

Les conditions médicales préexistantes représentent bel et bien un facteur de risque sur l’issue de la maladie, montrent de nouvelles données sur la première vague de COVID-19 dévoilées par l’Institut national de santé publique.

Trois nouvelles études, dont une à laquelle ont participé des chercheurs québécois, offrent un nouvel espoir dans la lutte contre le cancer de l'œsophage, une maladie potentiellement très agressive et contre laquelle aucune nouvelle arme n'avait vu le jour depuis près de dix ans.

Alors que la FDA a approuvé l'utilisation du remdesivir pour les patients COVID-19, l'Organisation mondiale de la santé a émis une recommandation conditionnelle contre l'administration du médicament aux patients hospitalisés atteints de COVID-19, quelle que soit la gravité de leurs symptômes, sur la base de preuves insuffisantes que le médicament améliore la survie et d'autres résultats sanitaires.