Pharmacie communautaire

«Le contact humain est votre seule arme de bataille. Votre humanité est ce qui vous différencie de la machine. Il faut interagir avec votre patient, s’intéresser à lui, pouvoir l’accompagner toute sa vie», a conseillé Me Dominic Jaar, associé et leader national, Enquêtes technologiques, chez KPMG Canada, lors d'une conférence donnée au Congrès annuel de l’AQPP, vendredi.

Alors que les consultations particulières sur le projet de loi 31 se sont récemment terminées, l’OPQ et le CMQ ont déjà accompli beaucoup de travail entourant la réglementation qui découlera de la loi.

L’Association québécoise des pharmaciens propriétaires du Québec a déposé un mémoire exprimant ses inquiétudes face aux pouvoirs des syndics, dans le cadre de la création d'un comité spécial mis sur pied par le Conseil interprofessionnel du Québec.

L’Assemblée nationale a donné l’ordre à la Commission d'accès à l'information d’ouvrir une enquête sur la transmission de certaines informations par des pharmaciens.

Depuis 2015, le nombre annuel d’activités réalisées par les pharmaciens grâce à la loi 41 a presque doublé. Il tend toutefois à se stabiliser.

La situation financière affecte autant l’indépendance professionnelle du pharmacien en établissement que celle du pharmacien communautaire, révèle un sondage de l’Institut d’éthique appliquée de l’Université Laval.

Près de la moitié des répondants à un sondage réalisé pour le compte de l’Association des pharmaciens du Canada affirment composer avec les ruptures d’approvisionnement de médicaments plusieurs fois par jour.

Plusieurs centaines de pharmaciens se sont réunis le 11 mai dernier au Pharmacie U de Montréal pour assister aux nombreuses conférences qui avaient pour but d’aider à comprendre les modèles d’affaires émergents et améliorer les services offerts en pharmacie communautaire.