Oncologie

La consommation d’inhibiteurs de Janus Kinase (JAK), une classe de médicaments utilisés notamment pour les maladies inflammatoires chroniques, pourrait causer des troubles cardiovasculaires graves, des caillots sanguins entraînant la mort et un cancer, avertit Santé Canada.

Le pourcentage de Canadiennes qui ont survécu à un cancer du sein a doublé depuis 15 ans, ce qui témoigne des progrès fulgurants réalisés dans le traitement de cette maladie au cours des dernières années.

Les dons servent principalement à financer la biobanque, une collaboration de quatre centres hospitaliers universitaires du Québec, et qui contient des biospécimens prélevés au moment de l'opération d'un patient.

Pendant la pandémie de la COVID-19, il y a eu au Québec une importante diminution du nombre de mammographies, des tests normalement réalisés tous les deux ans dans l'espoir de détecter le cancer du sein le plus tôt possible.

Tel était l’objectif d’une étude récente parue dans Cancer Cell, montrant que les tests sanguins basés sur l’ARN des plaquettes altérées par les tumeurs permettent la détection de 18 types de cancer.

Santé Canada a approuvé Keytruda (pembrolizumab) de Merck en monothérapie comme traitement adjuvant chez certains adultes atteints d’un adénocarcinome rénal.

L’excès de sucre, et notamment de boissons sucrées, augmente le risque de carie dentaire, de surpoids et d’obésité. Mais est-ce aussi le cas pour le cancer? Des recherches explorent ce lien, et leurs premiers résultats donnent à réfléchir.

Certaines immunothérapies prometteuses ont recours à des virus modifiés, qui provoquent des effets indésirables chez plusieurs patients. Pour y pallier, une équipe étudie la possibilité d'utiliser un micro-organisme non pathogène pour l’être humain.