Oncologie

Santé Canada vient d’approuver le médicament Lynparza (olaparib) en tant que traitement adjuvant du cancer du sein précoce à haut risque HER2 négatif.

Grâce à un dépistage génétique, certaines personnes savent qu'elles ont un risque non négligeable de développer un cancer dans le futur. Doivent-elles envisager de se faire retirer un organe pour se protéger, alors que le cancer ne se déclarera pas forcément?

Sur une période de 70 ans, jusqu'à 14 citoyens de Rouyn-Noranda développeraient un cancer si la concentration d'arsenic dans l'air produit par la fonderie Horne ne diminue pas. C'est l'une des conclusions d'une étude très attendue de l'INSPQ.

Santé Canada a approuvé une première immunothérapie adjuvante pour les patients présentant un risque élevé de récidive du carcinome urothélial, le type de cancer de la vessie le plus courant et le cinquième cancer le plus fréquent au Canada.

Le laboratoire permettra de tester une nouvelle technologie qui attaque directement les tumeurs cancéreuses de l'intérieur et qui est guidée à l’aide de champs magnétiques.

Environ la moitié des patientes atteintes d'un cancer du sein à un stade avancé peuvent être désignées «HER2 faible» et être éligibles pour le médicament, qui a prolongé l'espérance de vie des patients sans progression de leur cancer.

Les injections de vitamine C à haute dose ne devraient pas être offertes à des personnes atteintes de cancer, tranche l’Institut national en santé et en services sociaux (INESSS), trois ans après le dépôt d’une pétition à l’Assemblée nationale demandant au gouvernement de rendre accessible ce traitement.