Oncologie

Les résultats d'un vaste et ambitieux essai clinique montrent que la radiothérapie préopératoire pourrait ne pas être nécessaire dans le traitement de certains cancers du rectum localement avancés.

Pour une petite proportion de patients, on ignore d’où provient la tumeur primitive de leur cancer. Mais grâce à une intelligence artificielle, ce mystère pourrait être résolu.

Les personnes qui souffrent d’obésité sont moins susceptibles de recevoir des soins appropriés. Ce problème est d'une importance capitale à l’échelle mondiale, compte tenu de l’augmentation spectaculaire du nombre d’adultes et d’enfants touchés, notamment au Canada.

L'exposition plus grande au soleil chez les personnes atteintes de calvitie représente bel et bien un facteur de risque de cancer de la peau, confirme une nouvelle étude publiée dans Nature Communications.

Un récent cas disciplinaire au College of Physicians and Surgeons of Manitoba a permis de faire ressortir cette leçon importante pour les médecins qui cherchent à écarter la possibilité d'un cancer de l'endomètre chez leurs patientes.

Près de 1000 Québécois atteints d'un cancer attendent leur chirurgie depuis plus de 56 jours, alors que la cible du gouvernement est que 90% des patients médicalement prêts soient opérés en moins de 28 jours, et 100% en moins de 56 jours.

L'idée présente un intérêt considérable: elle permettrait, par exemple, d’éviter l’émergence de résistances bactériennes dues à la dissémination incontrôlée d’antibiotiques, ou de réduire les effets indésirables liés à la toxicité de la chimiothérapie.

Une étude a révélé que l’utilisation de l’IRM, indépendamment du test de l’APS, pourrait être pertinente en tant qu’outil de dépistage primaire du cancer de la prostate.