Ma pratique

Les plans d’effectifs médicaux 2020 en spécialité font état de 617 places à pourvoir, soit 13 de moins que l’an dernier. Toutefois, même si chaque année au Québec, 450 médecins spécialistes en moyenne terminent leur résidence, le nombre de postes disponibles dans les hôpitaux continue de dépasser les 600 annuellement depuis 2016.

De nombreux médecins canadiens se demandent ce qu'il adviendra de leurs revenus s'ils ne sont pas en mesure de travailler autant pendant la pandémie. Le point par province.

Alors que le Comité spécial sur les pouvoirs des syndics recommande la mise en place d’un code de déontologie applicable aux syndics et la création d’un organisme indépendant ayant pour mission de faire enquête sur les plaintes concernant les syndics, le Collège des médecins du Québec accueille favorablement ces propositions.

C’est surtout au niveau des PREM que l’impact de la levée des exigences va se faire sentir, a indiqué le président de la Fédération des omnipraticiens du Québec, le Dr Louis Godin, à ProfessionSanté.ca.

«Le ministère nous assure qu’on ne manque de rien, que les visières sont disponibles, mais les échos du terrain que l’on reçoit nous disent qu’il en manque, déplore le président de l’Association des médecins d’urgence du Québec, le Dr Bernard Mathieu. C’est le genre de choses que l’on ne veut pas voir.»

Après avoir demandé du renfort aux infirmières retraitées afin de faire face la pandémie de coronavirus, Québec s'apprête maintenant à solliciter l’aide des médecins retraités.

Le Collège des médecins du Québec compte octroyer un permis restrictif aux médecins résidents le 1er juillet prochain au cas où la pandémie de la COVID-19 empêcherait la tenue des examens de certification.

Le Collège des médecins du Québec a annoncé, sur son site Web, qu’une «modalité de remplacement sera communiquée dans les meilleurs délais».