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Jana Bryan Havrankova

Author Profile

Diplômée de la Faculté de médecine de l’Université de Montréal en 1972, Jana Havrankova a suivi une formation en médecine interne et en endocrinologie à Montréal et à Sherbrooke, puis en diabétologie aux National Institutes of Health aux États-Unis. Endocrinologue à l’hôpital Saint-Luc du CHUM de 1979 à 2005, elle exerce actuellement en cabinet à Saint-Lambert et étudie en journalisme à l’Université de Montréal. Depuis 2001, elle a publié plus de 100 textes dans La Presse et Le Devoir.

ARTICLES BY THIS AUTHOR

  • 02/08/2020

    Pas encore la COVID !

    Tout comme le téléchargement de l’application pour tracer les porteurs du SARS-CoV-2, la lecture de ce texte n’est pas obligatoire. Justement, en parlant des obligations…
  • 01/06/2020

    Vieillir et mourir dans la dignité

    «Une préoccupation concernant l’élargissement de l’AMM serait probablement considérée par plusieurs commentateurs comme inopportune, même cynique, dans les circonstances. Mais inévitablement, le sujet devra être abordé pour que tous les vieux puissent vivre et mourir dans la dignité.»
  • 05/05/2020

    Statistiques douteuses sur la pandémie

    «Au début de la pandémie, le citoyen absorbait sans broncher le flot quotidien de statistiques présenté par François Legault et ses collaborateurs. Mais après plusieurs semaines de ce régime, une question surgit: peut-on espérer que l’on nous dresse enfin un portrait plus exact de la situation?»
  • 19/04/2020

    Spécialistes en CHSLD: mauvaise évaluation du ratio risque-bénéfice

    «Au plan humain, je comprends le premier ministre: le stress est considérable, tout le monde s’attend à ce que le gouvernement ait des réponses à tout, tout de suite, les actions doivent être accomplies hier. Toutefois, le projet d’envoyer les spécialistes dans les CHSLD aurait mérité plus de réflexion et de préparation. La supplique sentait la panique.»
  • 01/03/2020

    La ministre McCann en mode «solutions»

    Faire travailler les médecins davantage, changer le mode de rémunération, déléguer aux IPS... Si l’intention fondamentale de la ministre, qui est de réformer le système de soins sans chambarder les structures, est louable, certaines voies proposées pour y parvenir réitèrent des vœux pieux et témoignent d’une bonne dose de naïveté.
  • 25/03/2019

    Le rôle des IPS: entre le diagnostic et le traitement 

    D'après mon expérience, les meilleurs résultats en prestation de soins — et dans la vie en général — sont obtenus lorsque chacun déploie l’entièreté de son expertise particulière. Cela veut aussi dire que chacun respecte l’expertise de l’autre. Il ne s’agit pas de «chasse gardée», encore moins de «corporatisme».
  • 29/01/2019

    Le nouveau Guide alimentaire canadien ou comment grossir en bonne compagnie 

    «Mangez en bonne compagnie! dit le Guide. Il vaut sans doute mieux manger en bonne compagnie qu’avec le 45e président des États-Unis. Mais cette injonction m’agace. Pourquoi le Guide alimentaire se sent-il obligé de se mêler de notre vie privée?»
  • 06/01/2019

    Le discernement en cadeau du Nouvel An

    «Le but de légaliser le cannabis n’est pas d’inciter les gens à en consommer, mais d’éviter qu’ils soient en contact avec le crime organisé, qui propose des produits de composition et de qualité inconnues. Peut-on prétendre qu’empêcher les jeunes d’acheter les produits standardisés a pour but de protéger leur santé?»
  • 04/11/2018

    Quelques réflexions à propos du Collège et de son nouveau président

    «Tout cet engouement pour le nouveau président me laisserait un peu amère si j’étais le président sortant ou un membre actuel du Conseil d’administration. Comme si le Collège avait tout faux et qu’un grand ménage s’avérait nécessaire!
  • 24/09/2018

    Et si les spécialistes renonçaient à l’augmentation de leur rémunération?

    Voici ma proposition: renoncer à nos augmentations pour cinq ans, en exigeant que ces sommes soient consacrées au recrutement des infirmières, à l’augmentation des salaires des préposés et à l’amélioration des conditions d’hébergement en CHSLD. Car une équipe dans laquelle chacun se sent valorisé ne peut qu’améliorer l’atmosphère de soins.