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Jana Bryan Havrankova

Author Profile

Diplômée de la Faculté de médecine de l’Université de Montréal en 1972, Jana Havrankova a suivi une formation en médecine interne et en endocrinologie à Montréal et à Sherbrooke, puis en diabétologie aux National Institutes of Health aux États-Unis. Endocrinologue à l’hôpital Saint-Luc du CHUM de 1979 à 2005, elle exerce actuellement en cabinet à Saint-Lambert et étudie en journalisme à l’Université de Montréal. Depuis 2001, elle a publié plus de 100 textes dans La Presse et Le Devoir.

ARTICLES BY THIS AUTHOR

  • 05/01/2016

    Mots dits

    «En 2011, je vous ai présenté des expressions recueillies lors de mes rencontres avec les patients. Depuis, j’ai entendu d’autres termes qui m’ont fait sourire. Je les note discrètement; je ne veux pas heurter les sentiments des patients qui tentent d’assimiler, de comprendre et de reproduire le jargon médical pas toujours limpide...»
  • 13/12/2015

    Les médecins au banc des accusés

    «Les ingénieurs corrompus, les enseignants incompétents, les policiers violents, les politiciens malhonnêtes, les assistés sociaux paresseux: un vent de généralisations abusives souffle sur notre société. Les médecins étaient relativement épargnés jusqu’à récemment. À présent, il est devenu de bonne guerre de taper sur eux aussi, qui sont soi-disant trop payés, pas assez performants...»
  • 16/11/2015

    Un scan qui sauve la vie?

    «Une de mes amies m’a apporté un feuillet jaune trouvé dans sa boîte aux lettres à Saint-Lambert: "Attention… UN SCAN CORPOREL peut vous sauver la vie!"»
  • 21/10/2015

    Le médecin, malade malcommode?

    «Les médecins jouissent d’une mauvaise réputation en tant que patients. La légende veut qu’ils ne se soumettent pas facilement aux prescriptions de leurs collègues et qu’ils veulent se soigner à leur manière…»
  • 10/09/2015

    Aimez-vous le dossier informatisé?

    «Alors que mon enthousiasme pour le DSQ est grand, malgré ces quelques problèmes, j’éprouve plusieurs réserves concernant le dossier-patient informatisé. Bien entendu, les dossiers papier amènent beaucoup de paperasse et de manipulation et consomment beaucoup d’espace d’archives. Par contre, on ne se trouve pas à la merci des bogues informatiques...»
  • 13/08/2015

    Le festival des corrélations

    «Ces jours-ci, je me sens submergée par des présentations et des études supposément scientifiques où les auteurs confondent corrélation et causalité. De nombreuses actions médicales ont été menées — ou sont menées — en se fiant aux simples corrélations. Des exemples?»
  • 13/07/2015

    Le mythe de la gratuité des soins

    Avec les discussions – pour ne pas dire les chicanes – au sujet des frais accessoires, l’idée m’est venue d’écrire un billet sur la supposée gratuité des soins. Je ne prétends pas que ces soi-disant frais accessoires constituent une banalité. Ce qui me surprend ici, c’est la disproportion entre l’agitation autour de ces derniers et le silence radio concernant l’ensemble des dépenses généralement requises pour les soins.
  • 28/06/2015

    Qu’allez-vous lire cet été?

    «Après le tumulte des lois 10 et 20, notre santé mentale exige que nous nous changions les idées. D’ailleurs, à l’approche de la saison estivale, qui rime souvent avec les vacances, les médias nous suggèrent des livres. En général, on propose pour l’été des lectures « légères », fréquemment des polars. Personnellement, quand j’ai enfin le temps et la disponibilité de l’esprit, j’ai plutôt tendance à entreprendre des lectures plus sérieuses ou plus longues.»
  • 27/05/2015

    Où êtes-vous, Dr Welby?

    «En poussant les omnipraticiens vers les cabinets, le ministre ne semble pas s’occuper du remplacement de ces médecins dans les hôpitaux. Il dit que les spécialistes devront "s’impliquer" et prendre en charge les hospitalisations. Qui va pouvoir faire cela?»
  • 24/03/2015

    Le statut de la femme médecin

    «Il est parfaitement odieux d’imputer aux femmes médecins québécoises les problèmes d’accessibilité aux soins. Il fallait s’attendre à ce que la «productivité» des femmes médecins soit inférieure à celle des hommes. Par conséquent, s’il y a beaucoup de femmes en médecine, le ratio médecin/patient doit être plus élevé…»