Santé publique

Quatre adultes québécois sur dix affirment qu’au moins trois de leurs habitudes de vie se sont détériorées comparativement à avant la pandémie. Une situation préoccupante, selon l’Institut national de santé publique du Québec qui a réalisé ce sondage en janvier dernier.

Le sous-financement de la santé publique depuis plusieurs années a «sans doute» coûté des vies humaines, estime l'Association pour la santé publique du Québec, en plus d'entraîner des dépenses de milliards de dollars supplémentaires en traitements.

La prescription d’opioïdes pourrait-elle aider les personnes à arrêter de consommer des drogues par voie intraveineuse? Oui, selon une nouvelle étude ontarienne.

Le président de l’Association des médecins de CLSC du Québec, le Dr Sylvain Dion, est d’avis que la vaccination contre la COVID-19 doit être implantée dans les CLSC et même dans les groupes de médecine familiale (GMF).

Le nombre de suicides au Québec en 2020 sera dévoilé lundi prochain par l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Il ne faut toutefois pas s’attendre à une augmentation malgré les impacts de pandémie sur la santé mentale. Au contraire.

En l'absence de tests suffisants pour dépister la COVID-19, les sondages pourraient apporter un nouvel éclairage sur le variant Omicron. Ce sont du moins les conclusions d'une étude réalisée par une équipe de chercheurs membres du CIRANO.

L'espérance de vie a connu sa plus forte baisse annuelle en tout près d'un siècle. Les plus fortes diminutions ont notamment été observées au Québec, en Ontario et au Manitoba.

Quel est le portrait des patients requérant des soins critiques depuis le début de la vague Omicron? Et sont-ils pris en charge différemment? Le point avec quatre intensivistes.