«Lorsque les parents veulent de plus petites classes ou de meilleurs programmes scolaires, il n'y a pas plus d'enseignants ou d'écoles construites pour les accueillir. Et, quand tout le monde veut un deuxième avis, il n'y a tout simplement pas assez de médecins pour tout le monde.»
À l’heure où on cherche comment optimiser le temps des professionnels de la santé et où les pénuries de personnel se font sentir de plus en plus, l’approche Vigie m’a fait réfléchir sur certaines pratiques qui pourraient être revues en pharmacie communautaire.
Comment améliorer l’accès aux soins de première ligne? Vous avez été nombreux à répondre à l’appel à solutions lancé par ProfessionSanté.ca tout récemment. Voici plusieurs idées et les réflexions qui nous ont interpellés.
«Ce n'est pas d’une réforme du système de santé dont nous avons besoin, mais d’une réforme des mentalités et une ouverture à l'interdisciplinarité avec, en toile de fond, un financement adéquat des activités de chacun.»
Avec tout le respect que je dois à notre premier ministre, ses accusations à l’égard des médecins de famille sont à la fois malavisées et dangereuses. Ses vérités et son raisonnement sont contestables. Voici pourquoi.
En tant que médecins, nous savons que l'accès à la première ligne fait une grande différence sur la santé des patients. Quelles solutions pouvons-nous apporter pour l'améliorer?
«À l’ère où chaque pharmacie est dotée d’un SIPC et chaque clinique, d’un DMÉ, comment se fait-il que nous devions échanger des messages sur des papiers téléphoniques? Tant qu’à ça, je préfèrerais des pigeons voyageurs.»