Neurologie

L’âge des premières menstruations, le nombre de grossesses, le type de ménopause ainsi que l’utilisation d’hormones pour le traitement de la fertilité sont des facteurs faisant varier le risque de développer la maladie, selon une nouvelle étude française.

Un traitement administré directement dans le cerveau donne de l'espoir à plusieurs patients atteints de troubles neurologiques comme le déficit en AADC, qui interfère avec la façon dont les cellules du système nerveux communiquent.

Une vaste étude internationale à laquelle participe l'Université McGill est à la recherche de participants souffrant ou à risque élevé de souffrir de la maladie de Parkinson afin d'approfondir le dépistage et le traitement précoces de ce trouble neurodégénératif.

En laboratoire, les chercheurs en neurosciences cognitives utilisent toute une panoplie de stimulations directes et indirectes pour changer l’activité de notre cerveau afin d’étudier son mode de fonctionnement.

La capacité légendaire des chats à retomber sur leurs pattes pourrait un jour aider les humains à mieux marcher après une blessure à la moelle épinière, laissent espérer des travaux réalisés à l'Université de Sherbrooke.

La communication entre deux individus n'est pas aussi efficace si elle se fait par technologie interposée, a constaté un chercheur montréalais, et elle pourrait même demander un plus grand effort de concentration au cerveau.

Une équipe du Centre de recherche du centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) a découvert une bactérie probiotique qui a des vertus neuroprotectrices, et pourrait ouvrir la voie à de nouvelles thérapies.

Le médicament, sur le point d'être mis sur le marché aux É.-U., est le premier dont il est clairement prouvé qu'il peut ralentir, de plusieurs mois, la progression de cette maladie. Quelques éléments à savoir sur l'approbation du lécanemab.