- 07/05/2020
La première phase a été d’apprendre à s’adapter, à réagir à l’envahisseur. La deuxième phase sera d’apprendre à vivre avec. Il faut trouver un équilibre entre notre protection personnelle, celle de la société et de nos malades et les relations humaines. Il nous faut trouver maintenant un nouvel équilibre entre la peur et la prudence.
- 14/04/2020
«Je pense à tout ce que nous avons pris pour acquis et qui est remis en question. S’apitoyer sur notre sort ne changera rien. Il faut voir en cette crise les opportunités de faire différemment et mieux.»
- 18/03/2020
Plus les consignes seront respectées par l’ensemble de la population, plus ce virus invisible sera ébranlé et la population sera en sécurité. Plus ces consignes seront respectées, plus les professionnels de la santé seront protégés et ainsi en mesure de traiter ceux qui en auront véritablement besoin.
- 11/02/2020
«N’est-il pas temps de poser les vraies questions concernant la qualité et le contrôle de la qualité de ces biens essentiels que sont les médicaments? N’est-il pas temps de questionner le fait que le monde entier est à la merci de parfois un seul fabricant de matières premières?»
- 31/10/2019
«Il est important que les pharmaciens demeurent au fait des avancées technologiques, même lorsqu’elles ne sont pas totalement mûres. L’augmentation de l’accessibilité des tests pharmacogénomiques créera une pression sur le système de santé et les professionnels. Nous n’avons plus le choix, il faut embarquer et effectuer l’interprétation et le counseling requis...»
- 20/06/2019
«Alors que le pharmacien est le gardien des médicaments de vente libre visés par les annexes, il ne pouvait pas les prescrire. Ce sera maintenant chose du passé!»
- 06/06/2019
«Cela fait huit ans que le titre de Pharm. D est octroyé au Québec, ce qui correspond beaucoup mieux à la formation académique que les étudiants reçoivent. Or, la culture en pharmacie au Québec semble avoir de la difficulté à intégrer ce nouveau titre.»
- 18/02/2019
L’OPQ, les organismes des autres provinces et les organismes pharmaceutiques nationaux militent actuellement pour que le pharmacien soit reconnu comme un praticien au sens de la Loi sur les aliments et drogues, et que les privilèges du pharmacien québécois puissent s’étendre aux opiacés, stupéfiants et benzodiazépines. Militer au Québec pour le retrait de la codéine, non pas de la vente libre, mais du passage de l’annexe II vers l’annexe I, serait tout à fait contradictoire.
- 04/09/2018
«Les pharmaciens sont des professionnels hautement formés et accessibles au Québec. Les gouvernements précédents ont d’ailleurs élargi significativement les actes qu'ils peuvent poser. Paradoxalement, jusqu'à présent, aucun gouvernement n’a développé de vision concrète de ses attentes envers les pharmaciens pour le bénéfice de la population...»
- 24/08/2018
«La déprescription est à la mode. Ça plaît à l’esprit de se dire que si on prend <em>trop</em> de médicaments, il faut tenter de rationaliser cette consommation et cesser certains médicaments.» Est-ce forcément la bonne chose à faire?
- 10/07/2018
«L'entente AQPP-MSSS semble comporter des éléments qui, sans être spectaculaires, constituent néanmoins une percée extrêmement significative non seulement pour les pharmaciens propriétaires, mais aussi pour l’ensemble de la profession et pour nos patients.»
- 08/05/2018
«C’est certainement à Santé Canada que revient la palme pour sa plus récente initiative visant à prévenir l’abus d’opiacés sous ordonnance: une étiquette soulignant le risque de dépendance, de toxicomanie et de surdose! Bien sûr! Pourquoi n’y avons-nous pas pensé avant? Aux problèmes complexes, il n’y a pas de solution simple, sauf peut-être pour Santé Canada.»