Gastroentérologie

Une nouvelle étude montre que le syndrome du côlon irritable (SCI) est plus fréquent chez les médecins qui travaillent plus longtemps. Les auteurs de l'étude ont constaté que 16,3 % des médecins interrogés souffraient du SCI.

Des patients atteints du syndrome du côlon irritable ont montré une nette amélioration de leurs symptômes par rapport à ceux du groupe placebo après une transplantation de microbiote fécal. Les résultats proviennent d'un essai contrôlé randomisé.

La bactérie Brachyspira serait liée au syndrome du côlon irritable, surtout la forme avec diarrhée, a découvert une équipe de chercheurs suédois.

Au lieu de catégoriser les patients atteints du syndrome du côlon irritable (SCI) seulement en fonction de leur problème gastro-intestinal prédominant, des chercheurs du Royaume-Uni ont pris en compte leur profil psychologique. Ils sont ainsi arrivés à la création de sept sous-groupes.

Alors que les délais pour consulter en gastroentérologie augmentent, il peut être pertinent pour les médecins de première ligne de revoir le diagnostic du syndrome du côlon irritable (SCI), qu'ils peuvent effectuer en suivant les critères diagnostiques et en surveillant les signes d'alarme.

Même si les personnes atteintes d’une maladie inflammatoire de l’intestin (MII) ont une espérance de vie plus grande qu'il y a 15 ans, celle-ci reste néanmoins plus courte que celle des personnes qui n’en souffrent pas, a révélé une nouvelle étude parue dans le Journal de l’Association médicale canadienne.

Les médecins devraient surveiller la colite microscopique et la diarrhée biliaire chez les patients présentant un syndrome du côlon irritable (SCI), selon une nouvelle revue mettant en évidence des symptômes du SCI qui coïncident avec ceux d’autres maladies gastro-intestinales.

Les enfants souffrant de sensibilité alimentaire, d'eczéma ou d’asthme courraient un risque accru du syndrome de côlon irritable à l’adolescence, montre une étude de cohorte suédoise.