Santé des femmes

Le Journal de l’Association médicale canadienne (JAMC) a publié une nouvelle synthèse de preuves et des lignes directrices pour le diagnostic et la prise en charge du syndrome des ovaires polykystiques.

Une étude a examiné les effets des contraceptifs oraux sur l’anatomie des régions cérébrales impliquées dans les processus émotionnels, pour déterminer s'ils peuvent affecter l’anatomie du cerveau - même après avoir cessé leur utilisation.

Une nouvelle étude menée auprès de milliers de femmes américaines montre que la prévalence de la dépression majeure est plus faible chez celles qui prennent la pilule contraceptive.

Plusieurs médecins de famille se montrent encore peu enclins à prescrire l’hormonothérapie à leurs patientes pour traiter leurs symptômes de ménopause. De l’avis de deux gynécologues-obstétriciens, il n’y a pourtant aucune raison d’hésiter.

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est assez répandu puisqu'il touche environ 10 à 13% des femmes dans le monde. Testez vos connaissances!

D'après les résultats d'une étude publiée dans Neurology, plus une femme est exposée longtemps à ses hormones naturelles, moins les petits vaisseaux sanguins de son cerveau risquent de présenter des signes de maladie.

Malgré sa prévalence, un nombre important de cas de SOPK — jusqu’à 70% — ne sont pas diagnostiqués dans le monde. Cela s’explique en partie du fait qu’il n’existe pas de test spécifique pour le diagnostic.

Un récent cas disciplinaire au College of Physicians and Surgeons of Manitoba a permis de faire ressortir cette leçon importante pour les médecins qui cherchent à écarter la possibilité d'un cancer de l'endomètre chez leurs patientes.