«En 27 ans de pratique, c’est du jamais vu», confie le Dr Yves Robitaille, spécialiste en médecine interne au Centre de médecine métabolique de Lanaudière.
Plusieurs médecins de famille se montrent encore peu enclins à prescrire l’hormonothérapie à leurs patientes pour traiter leurs symptômes de ménopause. De l’avis de deux gynécologues-obstétriciens, il n’y a pourtant aucune raison d’hésiter.
Une étude britannique donne des indications sur les mesures à prendre pour garantir un usage sécuritaire des soins virtuels. Dans leur analyse, les auteurs identifient également un large éventail de facteurs contributifs, en particulier au niveau du système.
C’est le tour de force réalisé par l’équipe interdisciplinaire de la clinique de gestion de la douleur de Rouyn-Noranda grâce à une approche qui mise sur l’implication des patients.
Discours blessants, soins expéditifs, erreurs de diagnostic… Un rendez-vous chez le médecin ou une visite en pharmacie peut se révéler pénible pour les personnes en surpoids ou obèses.
«Maintenant retraité, je me rends compte de ma folie. Mon problème était que j'avais besoin d'adhérer aux principes fondamentaux selon lesquels les patients étaient au centre de mon univers. Ils n'étaient pas un simple icône sur un écran d'ordinateur...»
Si 95% de (presque) tout se situe à l'intérieur d'une courbe en cloche, qu'en est-il du 5% des patients qui se situent aux extrêmes? s’interroge le Dr Ted Jablonski.