Pratique pharmaceutique

Après l'Ordre des pharmaciens du Québec (OPQ) cet été, c'est au tour de l’Association professionnelle des pharmaciens salariés du Québec (APPSQ) de publier un guide pour aider ses membres à mieux déléguer les tâches techniques afin de réduire la surcharge de travail.

Elle fait évoluer la vie des patients et la pratique des cliniciens pour le meilleur), mais parfois aussi pour le pire. Six cliniciens nous décrivent l’importance de la technologie dans leur quotidien professionnel ou personne.

Il a vendu des ordinateurs dans sa jeunesse, cofondé la start-up TherAppX, qui évalue et recommande aux professionnels de la santé les meilleures applications. «Je suis passionné de technologie, oui, mais je suis très techno nul. C’est un peu paradoxal», dit-il.

1993 > Premier projet expérimental de carte santé à puce... 1998-99 > Apparition des premiers dossiers médicaux électroniques (DME) dans les cliniques médicales...

Les soins aux enfants et aux mères ne seraient pas les mêmes au CHU Sainte-Justine sans Jean-François Bussières, qui a pris sa retraite l’été dernier après 26 années comme chef du Département de pharmacie.

«Tout ce qu’on peut faire avec les pharmaciens, c’est extraordinaire! C’est vraiment un duo complémentaire», croit Cindy Caron, infirmière depuis 20 ans, et qui exerce en pharmacie depuis 2019.

Dans le cadre de son programme de révision des pratiques, le Collège des pharmaciens de la Colombie-Britannique a mis en évidence les erreurs les plus communes en matière de documentation des ordonnances.

Un pharmacien de New Westminster, en Colombie-Britannique, a été radié un an par le Collège des pharmaciens de sa province pour avoir contrevenu aux normes de bonnes pratiques et aux lignes directrices en matière d’administration d’injection.