La présidente de l'OPQ fait quelques suggestions aux pharmaciens désireux d'aller de l'avant et d'implanter des ordonnances collectives dans leur milieu.
« Cesser de rembourser les médicaments serait revenir à l’âge de pierre. C’est impensable dans un milieu comme le nôtre basé sur la solidarité. Le problème ce sont les choix... »
Les pharmaciens intéressés doivent suivre un entraînement militaire de base de 13 semaines à l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes.
Bien qu'il respecte l’autorité de Santé Canada en matière de mise en marché des PSN, l’Ordre des pharmaciens aurait préféré que seuls les produits homologués se retrouvent sur les tablettes des pharmacies.
« Ce nouveau règlement vient mettre un terme à l’incertitude que vivait l’industrie des produits de santé naturels », affirme l'association canadienne des fabricants de PSN.
En vertu d'un nouveau règlement, un fabricant qui soumet une demande de licence à Santé Canada pour l’homologation d'un PSN peut dorénavant commercialiser son produit en attendant la réponse.
L’OPQ ne voit que du positif à la délégation pour le pharmacien : réduction de la quantité d’actes techniques sous sa charge, augmentation du temps consacré à ses patients en soins pharmaceutiques et meilleur usage de son expertise.