Oncologie

En analysant les biopsies pulmonaires de patients atteints d’un CPNPC de stade I à III, une intelligence artificielle a pu distinguer les individus qui développeront des métastases au cerveau de ceux qui n’en développeront pas.

Certaines patientes atteintes d'un cancer du sein ont maintenant l'option d'être soignées par cryoablation, grâce à une nouvelle technique que le Centre hospitalier de l'Université de Montréal est le premier au Québec à offrir.

Des résultats récents montrent que l’immunothérapie comme traitement de première ligne augmenterait la survie globale de plus de 50%. Pourraient-ils vraiment reléguer au second plan la chimiothérapie?

L'essai clinique porte sur l'actinium-225, dont la fonction est de cibler l’antigène membranaire spécifique de la prostate, qui s’exprime fortement dans les cellules tumorales de la prostate, mais est très peu présent dans le reste de l’organisme.

La protonthérapie est plus précise que la radiothérapie, car elle permet de mieux concentrer le rayonnement sur la tumeur, réduisant ainsi les effets secondaires. Toutefois, l’accès à ce traitement clé contre le cancer est difficile pour la population canadienne.

Deux études préliminaires témoignent de progrès prometteurs dans le traitement de cette forme impitoyable de cancer du cerveau. Les chercheurs ont modifié des cellules immunitaires pour attaquer la maladie, et les premiers résultats sont très intrigants.

Chez les femmes postménopausées, le calcium et la vitamine D réduisent le risque de mortalité par cancer, mais augmentent le risque de décès par maladie cardiovasculaire.

Les directives nationales recommandent d'éviter le dépistage du cancer du sein avant l'âge de 50 ans. Toutefois, les femmes noires, hispaniques et asiatiques présentent une incidence maximale de cancer du sein dans la quarantaine.