Oncologie

Les patients qui participent pour tester l'efficacité de nouvelles thérapies n'en retireront que des bienfaits personnels très modestes, voire inexistants, leur participation servant surtout à faire progresser la science, indique un bioéthicien de l'UMcGill.

La moitié des patients atteints d'un cancer recevront une forme d'immunothérapie, mais entre 40% et 60% d'entre eux n'y répondront pas. Cela pourrait notamment être dû à la présence ou à l'absence, de certaines bactéries dans leur intestin.

Les chercheurs ont constaté que la moitié des tumeurs étudiées présentaient des récepteurs des œstrogènes, et que leur abondance est liée au risque de récidive, à sa progression, à la formation de métastases et à la survie des patients.

Une étude qui prédit une baisse des taux de cas de cancer et de décès au Canada démontre le succès des programmes de prévention et de détection précoce, mais met aussi en évidence les domaines dans lesquels plus efforts sont nécessaires.

Toutes les provinces et tous les territoires devraient abaisser à 40 ans l’âge d’admissibilité au dépistage du cancer du sein pour les personnes présentant un «risque moyen», estime la Société canadienne du cancer.

Une étude canado-américaine montre que 300 mg d’aspirine par jour n’améliore pas le risque de récidive du cancer du sein ou la survie chez les personnes atteintes d’un cancer du sein non métastatique à haut risque.

Une vaste étude à laquelle participent des médecins-chercheurs de l’Université McGill montre la pertinence de bien cibler les candidats au dépistage.

En prouvant que de petites quantités de plusieurs pesticides peuvent avoir un effet équivalent à une grosse concentration d'un seul d'entre eux, c'est un nouveau risque de santé qui est dévoilé. Les pesticides n'augmentent pas que les risques de cancer.