Maladies infectieuses / Vaccins

Les chamboulements provoqués par la pandémie auraient été encore plus profonds sans la disponibilité des tests d'autodépistage devenus omniprésents pendant la crise sanitaire, conclut une analyse menée par une chercheuse de l'Université McGill.

Bien que ce traitement vise à accélérer l'élimination du virus et à réduire les symptômes aigus, il n'y a pas de lien clair entre cette réduction et la diminution des cas de COVID longue, selon une étude.

Les dernières versions des vaccins contre la COVID-19 ont été efficaces à 54% pour prévenir les infections symptomatiques chez les adultes, selon la première étude américaine évaluant l'efficacité des vaccins.

Cette découverte pourrait permettre d'identifier, à partir d'une simple prise de sang, les patients hospitalisés pour une COVID qui sont plus susceptibles de développer une forme longue, et donc de les prendre en charge plus rapidement.

Une étude évalue l'efficacité d'une et de deux doses de vaccin recombinant contre le zona, en fonction du temps écoulé depuis la vaccination, de l'âge et de l'état d'immunodépression, et avec une seconde dose tardive.

Ces infections rares peuvent évoluer rapidement et entraîner des infections graves, voire mortelles, telles que la septicémie, la nécrose des tissus mous, le syndrome de choc toxique et la méningite.

Les autorités sanitaires britanniques ont exhorté des millions de parents à faire vacciner leurs enfants contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, alors que le nombre de cas de rougeole a fortement augmenté et que les taux de vaccination sont à leur plus bas depuis dix ans.

Non seulement il manque de médicaments antifongiques permettant de traiter efficacement ces infections, mais plus grave encore: à l’instar des bactéries, l’émergence de souches de champignons résistants aux antifongiques constitue un problème préoccupant.