Maladies infectieuses / Vaccins

Au moins 10% des personnes infectées par le SRAS-CoV-2  présentent des symptômes qui durent plus de quatre semaines après l'infection. Mais la COVID n'est peut-être pas la seule à provoquer des symptômes durables.

De plus en plus de données montrent que la vaccination contre la COVID n'offre pas seulement une protection contre l'infection et une réduction des symptômes en cas de primo-infection, mais qu'elle peut également conférer une protection après la guérison.

Les femmes sont plus susceptibles que les hommes de ressentir un effet secondaire indésirable après avoir été vaccinées contre la grippe, confirme une méta-analyse dirigée par une chercheuse montréalaise.

Les personnes qui reçoivent leur série d'injections de vaccin contre la COVID dans le même bras auraient une réponse immunitaire plus forte que celles dont les injections sont réparties entre les deux bras.

Dans le cadre de leur étude, des chercheurs ont constaté une réduction du risque de maladie d'Alzheimer chez les adultes vaccinés contre le tétanos et la diphtérie (avec ou sans coqueluche (dcaT/dT), le zona ou les maladies pneumococciques.

L'Agence de santé publique du Canada met à disposition un mémo visuel sur le diagnostic et la prise en charge rapides de l'anaphylaxie après la vaccination, ainsi qu'un tableau de dosage de l'épinéphrine IM en fonction du poids ou de l'âge.

Une étude menée en Colombie-Britannique n'a pas permis de constater une réduction du nombre de décès ou d'hospitalisations liés à la COVID chez les personnes à faible risque, y compris celles âgées de 70 ans ou plus qui n'étaient pas modérément ou gravement immunodéprimées.

Le lancement de cette campagne coïncide avec l'arrivée de nouveaux vaccins mis au point pour contrer les multiples variants de la COVID-19, dont le sous-variant XBB.1.5 qui est en forte progression.