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Ma pratique

  • Un médecin sanctionné pour avoir mal fait le suivi de son patient

    Un médecin de famille a été radié six semaines pour avoir failli au suivi des résultats du dosage d'APS de son patient à qui l'on a diagnostiqué un cancer de la prostate deux ans plus tard.
  • Surmené au travail, un cardiologue falsifiait des ordonnances pour son compte

    C’est parce qu’il était en surcharge de travail à la suite des fusions d’établissements de santé provoquées par la loi 10 qu'un cardiologue a falsifié des ordonnances pour son usage personnel et contrefait la signature de son médecin traitant.
  • L’objection de conscience du médecin

    Le débat que la société québécoise a connu au sujet de la légalisation de l’aide médicale à mourir a remis à l’ordre du jour un privilège qui existait depuis longtemps dans la Code de déontologie des médecins : l’objection de conscience.
  • L’examen physique: un art qui se perd

    Échographie, résonance magnétique, télémédecine… la multiplication des technologies d’imagerie médicale fait en sorte que l’examen physique traditionnel, pourtant pratiqué depuis des siècles, perd sans cesse du terrain.
  • Quand réduire son empreinte écologique rime avec rentabilité

    Alors que les mouvements citoyens pour la préservation de l’environnement prennent de l’ampleur, le milieu de la santé, lui, tend à tirer de l’arrière. Certains professionnels de la santé choisissent néanmoins de montrer l’exemple en matière de développement durable.
  • Radiée pour avoir mal évalué l'état de son patient

    Une urgentologue de l’Hôpital Pierre-Boucher a écopé de trois mois de radiation pour avoir mal évalué la gravité de l'état d’un patient souffrant d'un cancer des intestins et l'avoir poussé à effectuer 700 km en voiture, malgré des douleurs atroces, pour se rendre au centre hospitalier près de chez lui.
  • Sanctionnée pour une prescription massive de narcotiques à un proche

    Une médecin de famille vient d’être radiée par le Conseil de discipline du Collège des médecins du Québec pour une période de quatre mois pour avoir prescrit à un proche un nombre «effarant» de narcotiques, majoritairement de l’Oxycodone.
  • Les risques de «googler» son patient

    Plusieurs médecins recherchent leurs patients sur Google. La plupart, par simple curiosité ou pour mieux connaître la personne devant eux. Toutefois, les professionnels doivent être très prudents, croit le Dr Paul Hsieh.
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