Hôpitaux / établissements

Alors que la saison des virus respiratoires est à nos portes, Christian Dubé a dit préféré laisser les présidents et DG d'établissements de santé décider s'ils réimposent ou non le masque, puisque la situation varie d'une région à une autre.

C’est le constat d’un nouveau sondage réalisé par le Collège des médecins du Québec auprès de ses membres dans la foulée de l’élargissement récent des critères pour offrir l'AMM.

Pour améliorer l’accès aux soins de santé en français, l’École de médecine du Nord a lancé l’automne dernier un projet pilote de formation francophone. Fort de son succès, le programme «Voie vers la médecine en français» sera «entériné» en 2024.

Une récente étude semble démontrer que les professionnels de la santé en première ligne ferment les yeux sur leur condition ou ne se rendent compte de rien. Pourtant, les soins de santé offriraient une rare opportunité de rejoindre ces victimes trop souvent invisibles.

Bien qu’il soit en faveur du principe de sécurisation culturelle énoncé par le gouvernement, le Collège dénonce toutefois la non-reconnaissance par ce dernier du racisme systémique en santé et le ton «paternaliste et colonialiste» du projet de loi.

Le nombre de patients admis à l'hôpital et contaminés par le coronavirus est passé d'environ 300 il y a trois semaines à 881, en date de mercredi 6 septembre. Seuls 19 d'entre eux sont admis aux soins intensifs.

Même si le nombre de patients souhaitant obtenir l'AMM continue d'augmenter, le CMQ constate que certains médecins de la province ont peur de pratiquer cette procédure en raison de la menace de sanctions professionnelles.

La diversité des réactions à l'égard des «soins privés» a été mise en évidence lors du Sommet de l'AMC sur la santé, et de sa table ronde intitulée «Reconnaître les angles morts dans la discussion sur les soins de santé privés et publics».