Dans le cadre du Festival des clowns de Montréal, des clowns thérapeutiques se sont rassemblés pour discuter de leur rôle et de l’impact de leur travail en milieu hospitalier.
«Mon mariage avec le Parkinson a commencé il y a trois ans, le jour de mes 71 ans. À l'époque, un autre "Parkie" m'avait dit que ma lune de miel avec la maladie durerait cinq ans. Cela ne me paraissait pas si mal, la précédente n'ayant duré que trois jours.»
«La médecine familiale n'examine pas chaque douleur thoracique et chaque mal de tête aussi agressivement que les spécialistes, car notre dénominateur est plus grand et notre numérateur plus petit que les leurs», relate la Dre Feldman.
Quand on accueille des patients à l’unité de soins palliatifs et que les proches savent ce que la personne désire, ça facilite beaucoup les soins qui sont offerts au patient et l’accompagnement qui peut être donné, raconte la DG de la Fondation PalliAmi.
Lyona Lunter est passionnée par la pharmacie depuis son enfance, lorsqu’elle accompagnait sa mère, pharmacienne consultante clinique, dans diverses maisons de retraite et de soins lorsqu’elle était de garde.
Le 1er mai est l'occasion de reconnaître que les médecins sont toujours là pour leurs patients et que les étudiants en médecine ne baissent pas les bras malgré les propos parfois désobligeants des politiciens, écrit le Dr Alykhan Abdulla.
Maintenir une motivation constante est crucial pour garantir un service de qualité et répondre efficacement aux besoins des patients. Quelques conseils.
Une centaine de clowns thérapeutiques provenant de toute l'Amérique du Nord sont à Montréal ces jours-ci à l'occasion d'un colloque qui leur permettra de se rencontrer et d'échanger en personne pour la première fois depuis la fin de la pandémie.