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L'Agence de la santé publique du Canada ne fournira pas le vaccin à base de protéines contre la COVID-19, invoquant une faible demande par le passé pour ce type de vaccin.

Des pharmaciens nous ont confié ce qui les exaspère le plus dans leur pratique. Florilège.

Des chercheurs de la Mayo Clinic ont essayé de modéliser un algorithme prédictif de l’épuisement professionnel chez les cliniciens en s’appuyant sur des données de leurs dossiers médicaux électroniques.

Pédiatre endocrinologue au CHU Sainte-Justine, la Dre Mélanie Henderson plaide pour un accès plus facile à des molécules, comme le sémaglutide, qui pourraient donner un petit coup de pouce aux patients qui en ont besoin.

Réunis en fin de semaine pour le Congrès 2024 de l’APPSQ à Boucherville, les pharmaciens salariés voient d’un œil enthousiaste mais prudent les avancées et évolutions de pratique promises par le PL67.

Des congés de maternité plus longs permettraient de réduire ces risques, mais encore faut-il que les résidentes puissent les prendre.

Le Dr Jean-Pierre Rodriguez comptait plus de 500 dossiers médicaux incomplets. Après avoir fait l’autruche pendant des mois, il a mis près de quatre ans avant de se résoudre à les parachever.

Le dispositif intra-utérin Yanae, développé en France et distribué par la jeune société pharmaceutique canadienne 49Care, intègre un inserteur flexible permettant une pose sans douleur pour la patiente. Une première.