Santé publique

La présidente de l’APES Julie Racicot revient sur l'audition sur le PL67 à l'Assemblée nationale et sur la nécessité d'obtenir un titre de spécialiste pour les titulaires de la maîtrise.

Tout en reconnaissant les transformations importantes de la pratique permises par le PL67, l’Association des pharmaciens des établissements de santé pointe l’absence de la spécialisation dans la proposition du gouvernement.

L’entreprise canadienne Sandoz devrait lancer le tout premier générique à base de sémaglutide en 2026, rendant ainsi ce coûteux traitement plus accessible. Quitte à ouvrir la voie à une potentielle crise de santé publique.

Jusqu’à présent, l’impact de la crise des opioïdes a été moindre au Québec qu’en Colombie-Britannique ou en Ontario. Cette donne pourrait néanmoins changer, craignent des chercheurs montréalais.

Au tour de l’Ordre des pharmaciens d'intervenir dans le cadre des auditions parlementaires pour le PL67. Après avoir applaudi les avancées permises par la future loi, l'OPQ s'est attardé sur la question de la spécialisation des pharmaciens d'établissement.

Parmi les recommandations formulées par le Collège des médecins devant l'Assemblée nationale, la nécessité de développer rapidement le dossier santé numérique ou encore de nouveaux leviers pour encadrer la pratique privée.

Le nouvel outil présente les données les plus récentes et les plus complètes dont dispose l'agence concernant différents indicateurs de santé publique. Les maladies chroniques occupent la part du lion, avec huit indicateurs sur un total de 19.

Dans le cadre d'un projet pilote mené par le gouvernement de la Saskatchewan, une nouvelle formation permettra à certains pharmaciens d'effectuer des tests rapides pour la détection des angines streptococciques et des infections de l'oreille.