Opinions

Nous n’avons pas le pouvoir de changer la vie des gens. Nous devons être prêts à changer en même temps qu’eux, à être la personne dont ils ont besoin aujourd’hui, afin qu’ils puissent devenir la personne qu’ils veulent être demain.

Voici une journée typique dans la vie du Dr Ravinder Dennis Bhui.

L'objectif de cet article est d'offrir des conseils et la perspective d’une personne qui a vu les deux côtés de la médaille: en tant que pharmacien et en tant que patient.

En tant que pharmaciens, nous devons prendre davantage soin de nous-mêmes afin d'être plus disponibles pour nos familles, nos collègues et nos patients. Comment y parvenir?

«Il fut un temps où les représentants pharmaceutiques visitaient les médecins (...) Ce n'est plus permis. Ce qui n’empêche pas l’industrie pharmaceutique de consacrer maintenant ses efforts promotionnels auprès d'autres professionnels de la santé.»

Reprendre le fil de ses pensées après avoir été interrompu a un coût considérable. Alors comment faire pour minimiser les interruptions et leur impact?

«Un soir que je travaillais à la Clinique médicale Hickson, un représentant s’est pointé à mon bureau. Il vendait des arbres généalogiques (...) et me garantissait que l’on pouvait retrouver mes aïeuls, leur origine, la date de leur mariage et tout le pedigree.»

«Certains médecins se sentent comme des machines distributrices d’AMM, face à certaines personnes pressées sans souffrance physique. Nos décideurs pourraient-ils mettre sur pied des équipes mobiles pour satisfaire certaines demandes d’AMM quand les médecins sur le terrain n’en sont pas capables?»