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Opinions

  • L’Alberta... la Mecque pharmaceutique?

    En Alberta, ça fait déjà un bout de temps qu’ils l’ont, leur projet de loi 41. Et bien que je ne sois pas du tout un spécialiste du système albertain, ça semble pas mal intéressant. D’après ce que je comprends, ils ont pas mal de pouvoirs.
  • Je ne vous quitte pas, mais...

    Le cadre principal de mes activités de blogueur se retrouvera plutôt sur le site de L'actualité, où j'espère répondre aux attentes des lecteurs de tous les horizons et ne pas démériter de la confiance qu'on me fait, en m'accueillant ainsi au sein d'une solide équipe de blogueurs d'expérience.
  • Rx&D réplique: «Entretenir les mythes ne sert qu’à perpétuer la méconnaissance»

    «Il est impossible de considérer les médicaments novateurs sous le seul angle des coûts, sans ajouter leur valeur à l’équation», écrit Russell Williams, président de Rx&D, en réponse à la lettre de Sabrina Provost, de Médecins québécois pour le régime public, présentant le projet de Pharma-Québec.
  • Nouvelle gouvernance: vers un choc frontal avec les valeurs du réseau de la santé

    «On vit un choc frontal entre les valeurs fondatrices du réseau public et les façons de faire qu’on implante à travers l’approche managériale dite "nouvelle gouvernance", axée sur la mise en concurrence», explique Guillaume Hébert, chercheur à l'IRIS.
  • Boulevard des poilus

    «Quand Paul a fait entrer le chien dans la maisonnée, le chat, de mauvais poil, s'est dressé les poils de la tête et Helena a rebroussé-poil, avec ladite bête sous les bras.»
  • Maladie honteuse

    «Imaginez un fléau si grave qu’il affecte la moitié d’une population. Un mal si puissant qu’il bouleverse nos vies, ravage nos familles et détruise nos existences. Une maladie si honnie que vous ne vouliez pas vous en occuper… et ne sachiez pas comment le faire!»
  • Des mimosas en janvier

    «Paul se retourne vers Samy. Il est sage comme une image. Il ne jappe pas. Il ne tire pas sur sa laisse. Il ne court pas après tous les chiens de la rue. Il n'est pas son chien abandonné qui ne l'aime pas. Il est l'autre. En mieux. En plus fin.»
  • Parizeau: une bellemèrisation qui remet le débat en perspective

    De telles paroles sont perçues différemment lorsqu'elles proviennent par un «militant de gauche» ou bien par un «économiste respecté». Dans le premier cas, on attaque aisément le «parfum idéologique» de gauche, mais dans le second, on doit réfléchir un peu plus. Lorsque l'on constate les similarités entre les positions de Parizeau et celles d'organisations et de militants associés à la gauche, on est pourtant forcé de prendre un temps d'arrêt.
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