Opinions

Pourquoi les femmes médecins ne sont pas à blâmer

«Je refuse d’entrer dans le jeu qui fait en sorte que le financement de la recherche en santé et du soutien aux malades et à leurs proches dépend de moins en moins des besoins, mais de plus en plus de l’attention qu’arrivent à susciter les fondations.»

Voici quelques nouvelles marquantes dans le domaine de la pédiatrie, publiées ces dernières semaines.

La censure (1re partie)

«Ce texte ne sera pas accompagné d’une vidéo. Ma douche d’eau glacée pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA), je l’ai déjà eue. Et elle a changé ma vie.»

«J’écris cette lettre parce qu’à la suite de la démission récente de plusieurs directeurs régionaux de santé publique, je suis profondément préoccupé par les processus de nomination concernant leur remplacement.»

«Le lundi 18 août, à midi, Gillian Bennett a glissé tranquillement vers l’éternité. Elle avait 85 ans et elle était atteinte d’une démence dégénérative. Parce qu’elle ne voulait pas finir sa vie à la charge de ses proches et de l’État, parce qu’elle refusait l’idée de devenir un corps sans esprit, elle a pris les grands moyens.»

«Nous sommes tous à risque de souffrir des conséquences du surdiagnostic et du surtraitement, et bien des médecins se sentent aussi piégés par un système qui les pousse à trop en faire.»