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Opinions

  • Faut-il abolir les PREM?

    Selon le président du Regroupement des médecins omnipraticiens pour une médecine engagée, le Dr Simon-Pierre Landry, les PREM rendent le processus de recrutement laborieux et devraient être abolis. Pour le ministère de la Santé, le processus peut sembler complexe, mais il est nécessaire.
  • L’empathie s’entretient: aux médecins d’y veiller!

    Lettre d'opinion du Dr Hugo Viens, président de l'AMQ
  • eConsult au Québec: c’est parti!

    Le mot du Collège québécois des médecins de famille
  • Entrevue avec le Dr Laurent Marcoux: Pour des médecins plus politisés

    Pour éviter un dérapage dans l'opinion publique, le président de l'AMC, le Dr Laurent Marcoux, préconise une nouvelle conception de ce qu’est un bon médecin, demande à ses pairs de cesser de travailler en silos, et appelle les politiciens à mettre fin aux réformes. En plus de faire tomber les frontières provinciales. Tout un programme.
  • Les raisons de la déraison

    Ce n’est pas d’hier que les théories du complot et les fausses rumeurs meublent le paysage. Si la plupart du temps elles demeuraient inoffensives, avec Internet, c’est un autre défi : elles ne sont plus une blague. Et si c’en est une, elle ne fait pas rire. Surtout qu’il y a la version hypocalorique des élucubrations complotistes : la désinformation, plus dangereuse parce que plus répandue, insidieuse et difficile à détecter. Des informations vraies, mais détournées de leur sens véritable.
  • Quand le ministre de la Santé pose un mauvais diagnostic

    À la hausse des congés maladie prolongés chez les travailleurs de la Santé, le ministère répond par un programme de soutien et de réintégration au travail pour limiter leur durée. Ça pourrait être une bonne nouvelle... si on s'attaquait vraiment à la source du problème, estime Sonia Éthier, vice-présidente de la CSQ.
  • Le projet de réforme fiscale divise les médecins

    Le projet de réforme fiscale proposé par le ministre fédéral des Finances, Bill Morneau, crée des dissensions parmi les médecins québécois. Certains estiment que ces changements sont justifiés et nécessaires alors que d’autres croient qu’ils auront de lourdes répercussions sur la profession.
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