Oncologie

Les femmes qui présentent une mutation du gène PALB2 ont 35% de risque d’avoir le cancer du sein lorsqu’elles atteignent l'âge de 70 ans, selon une recherche réalisée en partie à Montréal et publiée dans le New England Journal of Medicine.

L’obscurité totale, la nuit, serait la clé de la réussite du traitement du cancer du sein, révèle une étude américaine publiée récemment dans la revue Cancer Research.

Santé Canada a approuvé Pomalyst (capsules de pomalidomide) administré par voie orale en association avec la dexaméthasone, pour les patients atteints d'un myélome multiple chez qui le lénalidomide et le bortézomib ont tous deux échoué.

Un simple test sanguin développé par des chercheurs britanniques permettrait d'identifier les patients atteints d'un cancer, sans avoir recours à des procédures aussi invasives que les biopsies ou les colonoscopies.

L’utilisation de la tomosynthèse mammaire numérique (TMN) pour le dépistage du cancer du sein entraînerait une diminution des rappels inutiles (faux positifs) ainsi qu’une augmentation de la détection des cancers (vrais positifs), estime l’INESSS.

L'utilisation régulière de l'aspirine ralentit, chez la femme, un vieillissement du génome associé au cancer colorectal, affirment des chercheurs de l'Université de Bâle.

Le Québec à ajouté Zytiga (acétate d'abiratérone) à sa liste de médicaments pour le traitement du cancer de la prostate métastatique résistant à la castration (CPRCm), chez les hommes asymptomatiques ou légèrement asymptomatiques (indication étendue) après un échec du traitement anti-androgénique (TAD).

Un régime riche en aliments et en boissons sucrés est associé à une plus grande densité mammaire, démontre une nouvelle étude financée en partie par la Société canadienne du cancer.