Oncologie

Comment mieux adapter les soins offerts à nos aînés vivant avec un cancer? C’est la question que se sont posée des experts lors de la 36e édition des Entretiens Jacques-Cartier, à l'Université de Sherbrooke.

Une nouvelle étude du Centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations (CIRANO) soulève les retards que le Québec accuse en matière de dépistage du cancer du sein.

Une analyse coût-efficacité a démontré qu’il serait avantageux d’offrir le dépistage des gènes BRCA1/BRCA2 à toutes les femmes de plus de 30 ans au Canada. Des milliers de cas de cancer et des centaines de décès pourraient ainsi être évités.

Les femmes ayant des seins denses ont un risque légèrement plus élevé de développer un cancer du sein, car les cancers sont plus susceptibles de se développer dans les tissus glandulaires et fibreux.

Le patrimoine génétique confèrerait une protection plus ou moins importante face au cancer du poumon induit par la fumée de cigarette. En cause: l’existence de variations qui modulent l’efficacité du système immunitaire.

Les directives cliniques sont très différentes lorsque l'on est le patient qui les subit, plutôt que le médecin qui les applique.

Les lipides présents dans notre alimentation, dont la nature est différente suivant leur origine (végétale ou animale), pourraient impacter favorablement ou défavorablement le développement et la progression des tumeurs.

Le programme québécois de vaccination contre les infections par les virus du papillome humain s’adressait jusqu’ici aux jeunes âgés de 9 à 17 ans.