Le président du Collège des médecins souligne que le système de santé n’appartient ni au gouvernement ni au ministre, mais aux Québécois. Ces derniers sont donc en droit de savoir quels sont les objectifs finaux de ces réformes.
Plusieurs groupes de médecine de famille (GMF) sont sur la corde raide et un autre a pris la décision de se dissoudre par suite de la volonté du ministère de la Santé de les forcer à respecter les termes de leur contrat.
Seulement 23 % des Québécois considèrent que le système fonctionne bien, selon les données issues de l’enquête internationale sur les politiques de santé du Commonwealth Fund.
Bien que l’APES se soit surtout concentrée sur les ententes d’inscription dans son intervention en commission parlementaire, elle s’inquiète néanmoins du droit à la négociation entre l’État et les syndicats professionnels.