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L’obstétrique-gynécologie à risque de saturation: «une situation temporaire»
Il y a une dizaine d’années, la province vivait un baby-boom et des femmes enceintes devaient s'armer de patience pour trouver un gynécologue-obstétricien ou un médecin de famille pour suivre leur grossesse et les accoucher. En 2017, la gynécologie-obstétrique figure dans la liste des spécialités à risque de saturation. Comment expliquer pareil renversement en moins d’une décennie? -
Les médecins devront-ils déclarer les paiements reçus des pharmaceutiques?
Le gouvernement ontarien songe à forcer les médecins qui ont reçu des versements en argent de la part d'entreprises de l'industrie pharmaceutique à dévoiler ces informations publiquement. Si la province va de l’avant, elle deviendra la première au pays à avoir de telles règles.