Face à un mouvement de résistance qui ne cesse de prendre de l’ampleur, plusieurs scientifiques tentent de déterminer la meilleure façon d’aborder les opposants à la vaccination.
Deux pharmaciennes d’établissement de santé proposent un guide permettant d'assurer une meilleure prise en charge des interactions médicamenteuses chez les patients qui prennent des antirétroviraux et qui sont soumis à un protocole de chimiothérapie pour traiter un lymphome.
Les dernières données récoltées par l’Institut national de santé publique du Québec confirment la baisse déjà enregistrée de l’indice d'activité grippale au Québec.
L’Organisation mondiale de la santé préconise désormais deux doses du vaccin contre le papillomavirus humain (VPH) chez les filles âgées de 9 à 13 ans, au lieu de trois.
Les spécialistes indiquent que le vaccin protège mal contre la souche la plus courante jusqu'à présent cette année. Cette souche a tendance à entraîner davantage de décès et d'hospitalisations.