C'est l'un des objectifs phares de la Politique québécoise sur la maladie d’Alzheimer et les autres troubles neurocognitifs, présentée mardi matin par la ministre responsable des Aînés, Sonia Bélanger.
Les chercheurs canadiens ont remarqué des changements de comportement légers, mais significatifs, associés à un traitement d'ocytocine en spray nasal de six semaines.
Ce test serait en mesure de repérer des biomarqueurs de la maladie d'Alzheimer bien avant l’apparition des enchevêtrements de la protéine tau dans les neurones.
Une étude qualitative menée dans la région de Québec a permis de dégager quelques éléments qui font consensus sur la perception d’une «bonne mort» par des personnes qui y sont confrontées.
La Fédération québécoise des sociétés Alzheimer a organisé une conférence, destinée tant aux professionnels de la santé qu’aux familles, afin d’identifier les signes de la phase précoce de la maladie.
Environ un million d'Américains devraient, chaque année, développer de la démence d'ici 2060, soit environ le double du nombre actuel, ont rapporté des chercheurs.
Le programme O’stress aurait notamment permis de faire diminuer le cortisol – l’hormone du stress – de façon significative et durable chez les personnes âgées qui l’ont expérimenté.