De récents progrès permettent aux médecins d'offrir à certains de leurs patients atteints d'un cancer des traitements moins invasifs et qui causent moins d'effets secondaires indésirables, mais qui sont tout aussi efficaces que leurs prédécesseurs.
La nécessité d'attendre 60 ou même 90 minutes avant de se baigner est une légende urbaine. Elle prend sa source dans la crainte de certaines personnes de se noyer en raison d'une fausse croyance sur la circulation sanguine.
Selon des études, 52% des infirmières sont diagnostiquées avec des troubles du sommeil. Pour les médecins sur appel, le fait de pouvoir se faire appeler à tout moment apporte aussi une hypervigilance et peut affecter la capacité à s'endormir.
Les idées bouillonnent et les initiatives se multiplient dans la région pour faire face au manque de médecins. Les équipes se serrent les coudes et planchent sur des solutions innovantes pour donner les meilleurs soins possibles à sa population.
Alecensaro est le premier et le seul inhibiteur de l’ALK approuvé pour les personnes atteintes d’un CPNPC ALK-positif au stade précoce qui ont subi une chirurgie pour retirer leur tumeur.
Intégré à l’établissement depuis sept ans, le Programme de vie pour les aînés a permis de réduire la durée d’hospitalisation de plus de 7 jours, et a permis à la plupart des bénéficiaires d’éviter le placement en centre de soins de longue durée.
Même si les conditions de travail sont parfois difficiles, la pharmacie en établissement continue de séduire des jeunes qui ont choisi de s’établir dans des régions plus éloignées comme la Côte-Nord.
Un réseau de recherche sur le VIH/sida basé à Montréal étend la portée de ses travaux en réponse à une augmentation spectaculaire des taux d'infections transmises sexuellement comme la syphilis.