Pharmacy Business

Contrairement aux médecins, les pharmaciens ne risquent pas de quitter massivement pour la retraite dans les prochaines années et ainsi exacerber la pénurie de main-d’œuvre déjà importante dans certains milieux.

Alors que la surcharge de travail et le stress affectent plusieurs pharmaciens, l’Ordre des pharmaciens du Québec (OPQ) propose à ses membres une façon d’organiser leur travail afin de mieux gérer les priorités et d’avoir plus de temps.

Par honte, par crainte de nuire à leur carrière ou par vanité, les soignants ne parlent pas aisément des erreurs professionnelles qu’ils commettent. Un silence qui peut laisser des séquelles psychologiques et empêche de capitaliser sur ses fautes pour éviter qu’elles ne se reproduisent.

Au sommaire: dossier Vivre avec ses erreurs | Gérer la pression au quotidien | Pénurie d’infirmières | Cessation tabagique | Médicaments potentiellement inappropriés chez les aînés

La pandémie a ajouté une couche de pression au quotidien des professionnels de la santé qui exercent déjà des métiers à haute performance. Comment apprendre à gérer ce stress?

Confronté au risque de voir le réseau de la santé aux prises avec une pression insoutenable, le ministre de la Santé Christian Dubé reporte d'un mois la vaccination obligatoire des employés du réseau: la nouvelle date butoir est le 15 novembre.

L’Ordre des pharmaciens du Québec (OPQ) emboîte le pas aux ordres professionnels des médecins et des infirmières et décide de suspendre le permis de pratique des pharmaciens qui ne sont pas vaccinés adéquatement contre la COVID-19 à compter de vendredi.

Alors que d’ici une semaine tous les professionnels de la santé devront être adéquatement vaccinés contre la COVID-19, les pharmaciens propriétaires implorent Québec d’accorder un délai de grâce d’«au moins deux semaines, sinon plus» pour ceux qui n’ont toujours pas reçu leurs deux doses.