La Presse annonçait le 26 août la fin de l’entente, mais la clinique privée, puis le ministère de la Santé et des Services sociaux ont déclaré qu’il n’en était rien.
«Ce texte ne sera pas accompagné d’une vidéo. Ma douche d’eau glacée pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA), je l’ai déjà eue. Et elle a changé ma vie.»
Une semaine après l’assassinat de l’infirmière auxiliaire Cathy Morin, ses anciennes collègues de l’Hôpital du Saint-Sacrement de Québec étaient toujours aussi choquées qu’attristées de la fin tragique et violente de leur consœur.
«Nous sommes tous à risque de souffrir des conséquences du surdiagnostic et du surtraitement, et bien des médecins se sentent aussi piégés par un système qui les pousse à trop en faire.»
«Lorsque des protocoles de gestion des commotions cérébrales adéquats sont en place, le nombre réel de commotions correctement repérées est multiplié par cinq», signale le Dr Pierre Frémont, président de la Collaboration canadienne pour les commotions cérébrales.
Il est temps de donner aux patients l’accès complet à leur dossier médical, allègue la Dre Kirsten Patrick dans un éditorial publié le 14 juillet dernier dans le Journal de l’Association médicale canadienne.