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«Malgré les 25 ans d’existence du Programme, son financement demeure toujours un enjeu, avec un questionnement tout à fait légitime des organismes qui le subventionnent. Nous devrons faire la démonstration spécifique, dans les prochaines années, qu’il est rentable», indique sa directrice générale, la Dre Anne Magnan.

Pour être sûr de parvenir à arrêter de fumer, mieux vaut aussi arrêter de boire de façon concomitante. La littérature suggère en effet qu’une consommation excessive d’alcool réduit les chances de succès d’arrêt du tabac, l'alcool pouvant affaiblir la volonté d’arrêter.

Une étude menée depuis 45 ans chez des hommes d'âge moyen a constaté que l'impact de la sédentarité sur le risque de mortalité n'est devancé que par le tabagisme.

Même si la consommation d’alcool est associée à environ 200 problèmes sociaux et de santé, cette considération ne dissuade pas les gens, bien au contraire. Au cours des 15 dernières années, la proportion de buveurs au Québec est demeurée stable, mais la consommation per capita et la consommation excessive ont toutes deux augmenté, rapporte l’Institut national de santé publique du Québec dans son Portrait de la consommation d’alcool 2000-2105.

Le professeur italien Vincenzo Di Marzo, sommité en pharmacologie des endocannabinoïdes, dirigera cette première chaire au monde dédiée à l’étude du microbiote intestinal, notamment à ses altérations, à son influence sur l’inflammation liée à l’obésité et à son lien avec l’apparition du diabète de type 2 et des maladies cardiométaboliques.

Les connaissances et les traitements en matière d’asthme et de MPOC ont beaucoup évolué au cours de la dernière décennie. C’est ce qui a conduit les pneumologues Julie Milot, François Maltais et Louis-Philippe Boulet, appuyés de l’infirmière Hélène Boutin, de l’Institut universitaire en cardiologie et pneumologie de Québec (IUCPQ), à produire deux mises à jour de leurs ouvrages parus il y a près de dix ans.

Le Bulletin sur l'AVC 2016 de la Fondation des maladies du cœur et de l'AVC révèle qu'il existe un lien entre le fait du subir un accident vasculaire cérébral et le risque d'être atteint de démence. Selon le Dr Andrew Demchuk, directeur du Calgary Stroke Program, «il faut étudier l'AVC et la démence comme s'il s'agissait d'une seule entité, car, d'une certaine façon, ces deux affections n'en forment qu'une».