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Alain Vadeboncoeur

Author Profile

Le Dr Alain Vadeboncoeur occupe différentes fonctions; il est spécialiste en médecine d’urgence, chef de l’urgence de l’Institut de cardiologie de Montréal, professeur agrégé de médecine au Département de médecine familiale et de médecine d’urgence de la faculté de médecine de l’Université de Montréal, secrétaire et président sortant de l’Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec et chroniqueur médical à la radio et à la télévision.

ARTICLES BY THIS AUTHOR

  • 30/04/2012

    Intervenir comme médecin dans le débat sur les frais de scolarité

    Si la société oriente ses politiques afin de favoriser plus de justice sociale, plus de redistribution de la richesse, plus de solidarité – tous des facteurs fondamentaux favorisant la bonne santé, la population s’en portera mieux. Mais l’orientation choisie pour les frais de scolarité va dans la direction contraire.
  • 11/04/2012

    Sous les pavés, la grève

    Et si les étudiants souhaitaient simplement rendre la pareille et financer à leur tour l’enseignement supérieur par le biais de l’impôt, un bien meilleur outil de répartition de la richesse que votre « juste part » des tarifs? Parce que c’est trop facile d’opposer les étudiants et société : ils en font bien partie autant que nous et en seront plus tard le corps pensant, agissant, votant et poursuivront, notamment grâce à leurs taxes et impôts, la construction sociale. Et vous leur refuseriez le droit de participer au choix du modèle? Ce sont eux qui nous protègent.
  • 03/04/2012

    Ressusciter Pâques

    Bon, vous me direz que l’aspect religieux prend le bord. Savez-vous quoi? J’imagine que vous n’avez pas tort. Bien entendu, Pâques, pour moi, c’est aussi le « souvenir » de la mort de Jésus et de sa résurrection, j’ai eu une sorte d’éducation catholique, du moins ce qui en restait à l’époque, dans les années 1970.
  • 11/03/2012

    Pénurie de médicaments: on va passer à travers… mais ensuite?

    Revoir les politiques pharmaco-économiques et proposer un élargissement de la couverture publique d’assurance-médicaments pour mieux en contrôler les coûts est-il envisageable? Et une réflexion sur l’efficacité réelle des médicaments, souvent trop nombreux, que nous utilisons dans notre pratique serait salutaire? J’espère qu’on tirera les leçons qui s’imposent de cette crise.
  • 20/02/2012

    Soins palliatifs aux soins intensifs

    « On en vit souvent de l’impuissance en soins palliatifs. On meurt sereinement plus souvent dans les films et dans les livres que dans la vie. Pleurer ensemble, au moins c’est être encore ensemble. »
  • 08/02/2012

    Barrette contre Barrette

    Que Gaétan Barrette, ministre de la Santé, demeure aussi président de la FMSQ, voilà tout. Juste imaginer la prochaine négo, c’est déjà reposant: la même signature apposée de part et d’autre, les vraies affaires menées tambour battant. Prochain dossier. «Ensemble pour le changement.»
  • 07/02/2012

    Au cœur de la médecine familiale

    Pourquoi la médecine familiale attire-t-elle de moins en moins les étudiants en médecine ? Y a-t-il une vraie réponse? Je ne sais pas. Mais on peut tenter de creuser.
  • 30/01/2012

    La tentation du privé: un chemin de Lacroix

    «L’avenir, c’est hors réseau.» Quel avenir? Son avenir, sans doute. Qu'en est-il de celui des patients ordinaires, dont l'accès à la première ligne est déjà compromis?
  • 25/01/2012

    Infirmières praticiennes: 10 ans de retard

    Captivé l'autre soir par le second épisode de la série «Soins intensifs», [...] je songeais que nous sommes un peu passés à côté de la coche en retardant, au Québec, l'essor des «super-infirmières». Pourquoi ces difficultés à laisser aller nos responsabilités, à libérer un peu le terrain, à mieux nous entourer?
  • 23/01/2012

    Infirmières du vrai monde

    Si le mot vocation a un sens, c’est ici sa plus belle manifestation, dans le regard, dans les mots de ces infirmières d’exception, pour qui soigner, ça veut dire avant tout se rendre là où les gens essaient de vivre, pour tenter de les aider. [...] Tout cela fait réfléchir, dans notre confort et nos lieux de travail propre. Et qu’en est-il de notre propre engagement social?