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Actualités

  • Réformes en santé: Gaétan Barrette «prépare le désastre», selon Lucien Bouchard

    «On touche à un édifice extrêmement complexe de façon erratique, au gré des humeurs et des réactions à des épisodes contemporains. Ce n’est pas une réforme, c’est la préparation du désastre», s’est exclamé Me Bouchard la semaine dernière, en marge d’une conférence de presse de la Fédération des médecins spécialistes du Québec.
  • La FMSQ demande le retrait du projet de loi 130

    La Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) demande au gouvernement le retrait du projet de loi 130 et annonce des recours juridiques.
  • Québec Pharmacie, avril – mai 2017

    Au sommaire de ce numéro : Interaction entre l’amiodarone et la warfarine | Quels sont les risques associés à l’abus ou au mésusage de la prégabaline? | Mise à jour sur l’hypersensibilité aux β-lactamines (partie 1) |Colite lymphocytaire au dexlansoprazole
  • Un premier Symposium sur les innovations pour le CQMF

    Le Collège québécois des médecins de famille a lancé son premier symposium sur les innovations. Trente-et-une innovations émergeant des groupes de médecine de famille universitaire (GMF-U) y ont été présentées.
  • Pas de pot récréatif dans les pharmacies

    Le comité ministériel responsable d’établir un encadrement règlementaire pour la légalisation du cannabis prévue pour juillet 2018 aurait, après trois réunions, écarté les pharmacies de ses plans.
  • Incorporation des médecins: le débat refait surface à Québec

    La légitimité de l’incorporation des médecins a de nouveau été remise en question à l’Assemblée nationale. Un débat qui n’a pas lieu d’être, estime la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec.
  • Montréal sera l’hôte d’un congrès mondial en sciences pharmaceutiques

    Montréal accueillera un congrès d’envergure mondiale en sciences pharmaceutiques, du 22 au 27 mai 2020, dans le cadre du centenaire de la Faculté de pharmacie de l’Université de Montréal.
  • Les Québécois rejettent le statu quo en santé

    Les Québécois aiment leur système de santé et reconnaissent la qualité des services qui leur sont offerts. Toutefois, moins du quart d’entre eux ont l’impression d’en avoir pour leur argent, indique une étude du Pôle santé du HEC Montréal. Pour remédier à la situation, la majorité de la population québécoise serait prête à ouvrir davantage la porte au privé.
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