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«Nous avons examiné la réaction aux vaccins contre la polio et la H1N1 au Canada. Au plus fort des épidémies, les Canadiens étaient impatients de se faire vacciner, mais l’enthousiasme est vite retombé une fois la crise terminée».

Les trois quarts des personnes interrogées ont déclaré que des changements importants, voire une refonte complète, devraient se produire dans les soins de longue durée.

Des experts en santé préviennent qu'un changement de mentalité et de nouvelles solutions sont essentiels, alors que l'exposition à la fumée des grands incendies de forêt devient un phénomène régulier.

Les inventions biomédicales au cours de la période de 35 ans sous étude ont porté beaucoup plus sur les besoins de santé des hommes que des femmes, a révélé l'analyse de 400 000 brevets.

La COVID longue reste mal comprise, l’Institut national d'excellence en santé et services sociaux (INESSS) propose donc un outil pour faciliter sa prise en charge.

Plus de 700 médecins réclament le retour des directions locales dans les hôpitaux afin d’offrir plus de flexibilité aux établissements, de motiver les équipes et d’améliorer l’accessibilité des soins aux patients.

Un nouveau système d'alerte - plus précis et adapté aux changements du climat - a été développé pour le Québec, afin d'aider la Santé publique à prendre des décisions pour éviter des décès et des hospitalisations.

La pandémie semble avoir eu des effets aux antipodes sur le nombre de patients inscrits par les médecins de famille au Centre de répartition des demandes de service pour une première consultation en médecine spécialisée.