La FMOQ entend bien profiter des prochaines négociations pour exiger du gouvernement une diminution de l'écart de salaires entre omnipraticiens et spécialistes.
L'Institut devra «tisser des partenariats étroits avec les établissements universitaires, les centres de recherche, les unités d'évaluation et les différentes équipes cliniques et multidisciplinaires qui font la renommée du réseau».
En début d’année, chacun y va de ses bonnes résolutions. Si vous avez retenu celles que nous vous proposions en janvier 2009, vous avez mis de l’ordre dans vos affaires.
Il y a quelques années, la Mauricie/Centre-du-Québec souffrait d’une très grande pénurie de médecins de famille. Des efforts importants visant à combler une partie des besoins de la population ont donc été entrepris.
La réduction de l’écart qui sépare les omnipraticiens des spécialistes sera au cœur des demandes de la FMOQ lors des négociations avec le gouvernement en 2010.