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L’existence du réchauffement climatique ne fait aucun doute selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur le climat. Se préparer à ses répercussions devient donc un enjeu primordial de santé publique.

Aux quatre coins de la province, des centres locaux de services communautaires et des groupes de médecine familiale passent à l’action de leur propre chef. Zoom sur deux cliniques qui ont des réalités différentes, mais des objectifs similaires.

À l’ère des changements climatiques, l’heure n’est plus à la prise de conscience chez les soignants. Plusieurs sont même d’avis qu’il s’agit «de la priorité de toutes les priorités».

Le pharmacien Marc-André Mailhot, fondateur de Maillon Vert, dévoile des conseils et des mesures que les pharmaciens peuvent appliquer pour une pratique plus responsable.

Le Centre intégré de santé et services sociaux de Laval a mesuré son empreinte sur le climat en faisant l’inventaire de ses émissions de gaz à effet de serre. Une première au Québec.

Les professionnels de la santé sont nombreux à vouloir s’impliquer, à leur niveau, pour réduire l’empreinte carbone de leur pratique. Or, l’absence d’une réelle politique volontariste du MSSS empêche une approche coordonnée à grande échelle.

Le département d’anesthésiologie du Centre hospitalier de l’Université de Montréal a pris l’enjeu climatique par les cornes. Résultat: le service a réduit son empreinte carbone à peau de chagrin.

Les bonnes nouvelles ne sont jamais de trop dans le réseau de la santé. Le CMQ a révélé qu'on a recensé 210 médecins actifs de plus que l'an dernier dans la province. Montréal est la région ayant le plus profité de ces ajouts de professionnels de la santé.