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Le premier colloque canadien sur la maladie mentale chez les jeunes déjoue la stigmatisation
«Les parents redoutent de voir leur enfant étiqueté d’un diagnostic [de trouble mental] et sont d’autant moins enclins à autoriser un traitement, quel qu’il soit», dit le Dr Chue, en évoquant l’attention des médias autour des effets secondaires des ISRS et du suicide, et de la reclassification réglementaire des jeunes atteints de dépression comme un facteur aggravant.